Cet article de Stéphane Audrand, consultant et paysan à temps partiel depuis 7 ans dans le Morvan, fait un retour détaillé de son expérience incluant des analyses et chiffres précis sur la valeur énergétique de sa production. Son questionnement nous éclaire sur la possibilité, individuellement puis collectivement, d’atteindre une forme “d’autonomie alimentaire”.
L’une de ses conclusions est qu’il est temps « d’arrêter de colporter l’idée selon laquelle le maraichage en permaculture pourrait nourrir le monde » et qu’il faut « que les promoteurs de la permaculture et de l’agroécologie admettent la dépendance du système envers les apports de matière sèche, de fumier et de compost ».
La compréhension de cette dépendance entre les cultures est à la base de notre réflexion et du modèle des fermes en vie. En effet, nous prônons une approche systémique où les interactions entre les différentes cultures sont poussées et optimisées au maximum.
Retrouvez l’article de Stéphane ici : https://www.plansb.info/articles/ce-qui-nous-nourrit-principalement-lautonomie-alimentaire-et-les-limites-du-maraichage/