Le Domaine de la Modeste prend place dans le Sud-Est et localisé dans une vallée calme et bucolique du Var. C’est un projet agroécologique et éducatif structuré autour de plusieurs entités indépendantes qui collaborent pour développer un modèle résilient. Il dépasse la simple production agricole : il s’agit d’un modèle d’installation qui valorise le territoire de la Provence.
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Le domaine de la Modeste a été trouvée dans le cadre de nos recherches au sein de l’Association Cochons Noirs de Provence. À la base, on cherchait un domaine pilote pour créer la ferme recherche et développement Cochon pleine nature, agroforestier et en bio. On avait vu plusieurs lieux en Provence, celle-ci nous a parue adapté à notre projet et sa situation en Provence Verte nous semblait idéal. On a pris le risque de signer un compromis sans avoir le financement en mettant des conditions suspensives. À ce moment-là, on a rencontré FEVE.
Il y a 3 structures aujourd’hui :
- La SCI de La Modeste qui achète la propriété.
- Le domaine d'Artigues, avec un bail commercial, qui va gérer la bastide et ces activités.
- La Ferme du Vivant, avec un bail rural, qui va gérer les activités agricoles et para-agricoles.
Pour le financement du foncier, la foncière LES FEVES intervient à hauteur de 60% dans la SCI et une dizaine d'entrepreneurs complétant le tour de table.
C’est le projet des Amanins dans la Drôme qui nous a inspiré pour faire ce projet. On veut que le domaine de la Modeste soit un modèle d'installation pour les jeunes générations à venir et qui souhaitent se lancer dans la paysannerie.
Dans sa création comme dans sa gestion, on a pensé le projet de manière collective. Sur chaque atelier, ce seront des personnes indépendantes et non salariées. On veut que les agriculteurs gagnent convenablement leur vie, on va faire en sorte qu’ils puissent avoir une rémunération honnête grâce notamment à la transformation et/ou aux circuits courts.
On a mis 18 mois pour acquérir la propriété, ça nous a permis d’établir un grand projet global avec différentes parties prenantes. On a aujourd’hui une ferme avec beaucoup de potentiel qui demain deviendra un projet très ancré dans le territoire avec beaucoup de diversification.
L’ancrage territorial de ce projet est très important et il se matérialise par des partenariats avec plusieurs associations et acteurs locaux. Il y a par exemple un projet de cuisine collective pour fournir plus de 4 500 repas par jour dans les cantines à proximité avec pour objectif d’apporter plus d’autonomie alimentaire à la région et des débouchés aux producteurs locaux. Nous travaillons avec le lycée agricole de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, situé à 25 minutes de la ferme sur un projet environnementale.
On va lancer une formation avec l’Association Française d'Agroforesterie sur les différentes productions agroforestières et en polyculture élevage. On recevra des stagiaires en formation qui veulent devenir paysans. Notre formation sur l’agroforesterie sera d’un niveau BAC+3 et destiné à des profils en reconversion. Le travail de recherche et développement effectué sur La ferme du vivant profitera aux éleveurs et futurs éleveurs de l'association Cochon Noir de Provence.
Le domaine de la Modeste a été trouvée dans le cadre de nos recherches au sein de l’Association Cochons Noirs de Provence. À la base, on cherchait un domaine pilote pour créer la ferme recherche et développement Cochon pleine nature, agroforestier et en bio. On avait vu plusieurs lieux en Provence, celle-ci nous a parue adapté à notre projet et sa situation en Provence Verte nous semblait idéal. On a pris le risque de signer un compromis sans avoir le financement en mettant des conditions suspensives. À ce moment-là, on a rencontré FEVE.
Il y a 3 structures aujourd’hui :
- La SCI de La Modeste qui achète la propriété.
- Le domaine d'Artigues, avec un bail commercial, qui va gérer la bastide et ces activités.
- La Ferme du Vivant, avec un bail rural, qui va gérer les activités agricoles et para-agricoles.
Pour le financement du foncier, la foncière LES FEVES intervient à hauteur de 60% dans la SCI et une dizaine d'entrepreneurs complétant le tour de table.
C’est le projet des Amanins dans la Drôme qui nous a inspiré pour faire ce projet. On veut que le domaine de la Modeste soit un modèle d'installation pour les jeunes générations à venir et qui souhaitent se lancer dans la paysannerie.
Dans sa création comme dans sa gestion, on a pensé le projet de manière collective. Sur chaque atelier, ce seront des personnes indépendantes et non salariées. On veut que les agriculteurs gagnent convenablement leur vie, on va faire en sorte qu’ils puissent avoir une rémunération honnête grâce notamment à la transformation et/ou aux circuits courts.
On a mis 18 mois pour acquérir la propriété, ça nous a permis d’établir un grand projet global avec différentes parties prenantes. On a aujourd’hui une ferme avec beaucoup de potentiel qui demain deviendra un projet très ancré dans le territoire avec beaucoup de diversification.
L’ancrage territorial de ce projet est très important et il se matérialise par des partenariats avec plusieurs associations et acteurs locaux. Il y a par exemple un projet de cuisine collective pour fournir plus de 4 500 repas par jour dans les cantines à proximité avec pour objectif d’apporter plus d’autonomie alimentaire à la région et des débouchés aux producteurs locaux. Nous travaillons avec le lycée agricole de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, situé à 25 minutes de la ferme sur un projet environnementale.
On va lancer une formation avec l’Association Française d'Agroforesterie sur les différentes productions agroforestières et en polyculture élevage. On recevra des stagiaires en formation qui veulent devenir paysans. Notre formation sur l’agroforesterie sera d’un niveau BAC+3 et destiné à des profils en reconversion. Le travail de recherche et développement effectué sur La ferme du vivant profitera aux éleveurs et futurs éleveurs de l'association Cochon Noir de Provence.
Voilà 17 ans que je m’occupe de mon jardin afin de créer de la biodiversité et apprendre ses mécanismes. En soutenant FEVE j’ai voulu participer à un projet plus grand.
Julie V.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2022
En 2027, FEVE va convertir chaque année la surface de Paris ! On a besoin de vous pour rejoindre l’aventure. Chaque euro compte. Chaque m2 compte.
Thierry R.
Depuis 2023
Sensibilisé aux enjeux climatiques, je connais l'importance du secteur agricole dans la transition écologique et souhaitais y contribuer à mon échelle. Grâce à FEVE, mon argent permet aux agriculteurs de réduire leurs impacts environnementaux, et de garantir la souveraineté alimentaire de la France.
Benoît R.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2023