Bastien, ancien professeur d’histoire, a quitté l’enseignement pour s’installer en Normandie et donner vie à la Ferme des Monts. Sur ce site exceptionnel, il élève des races locales, principalement des Chèvres des Fossés, et a pour projet de faire découvrir la faune et la flore de son territoire et produire des fromages artisanaux. C’est une ambition dédiée à la préservation du patrimoine, à l’agriculture durable et à l’agrotourisme.
J’ai été professeur d’histoire pendant 12 ans, en région parisienne, dans l’Aisne et à Mayotte. Il y a quelques années, je suis tombé amoureux de la pointe de La Hague et j’ai souhaité m’investir dans ce territoire. J’ai rénové une petite maison en bord de mer, à Saint-Germain-des-Vaux, avec l’espoir d’y vivre tout en enseignant. Après trois ans de demandes de mutation refusées, j’ai dû choisir : rester en région parisienne ou m’installer en Normandie pour bâtir un nouveau projet. En rencontrant une famille d’éleveurs à Vauville, notamment Bruno et Pascal Paysant, j’ai découvert l’élevage des Chèvres des Fossés et ai commencé à réfléchir à créer une ferme caprine.
J’ai passé un diplôme agricole en Ardèche et en Haute-Loire puis j’ai réalisé des stages en Bretagne et en Normandie pour mieux comprendre le métier d’éleveur. Aujourd’hui, j’ai pu avoir des terres et installer ma ferme est en agriculture biologique, engagée dans la préservation du bocage normand et de son patrimoine vivant. J’élève mes animaux de Normandie dans les prairies du Cotentin et j’ai pour projet de faire découvrir ces animaux et ces paysages, transformer aussi le lait de chèvre en fromages.
S’installer ici, ce n’était pas juste un choix de vie personnel, c’était aussi une volonté de m’engager dans un territoire, d’en faire pleinement partie et de contribuer à sa vitalité. J’ai toujours été attaché à la notion de transmission et de partage, que ce soit en tant que professeur ou maintenant en tant qu’éleveur.
La Hague a une identité forte, un patrimoine naturel et agricole extraordinaire. Je veux faire vivre cette richesse en travaillant avec les habitants, les producteurs et les associations. Valoriser une race locale menacée comme la Chèvre des Fossés, préserver le bocage normand, proposer des produits de la ferme de qualité, accueillir du public à la ferme, c’est ma manière d’être acteur du “pays”.
FEVE a été un soutien dans l’acquisition des terres. Les banques étaient prêtes à financer les bâtiments et le matériel, mais pas l’achat du foncier, ce qui mettait en péril tout le projet.
J’ai contacté FEVE en mars, et après une visite sur place en avril, les discussions ont avancé rapidement. En juin, une offre était faite et le compromis signé en août, pour une vente réalisée en novembre. Ce court délai a permis de sécuriser mon installation.
J’ai pu me concentrer sur le développement de la ferme, la mise en place des animaux et la réalisation des bâtiments, sans avoir à immobiliser toute ma capacité d’investissement dans l’achat du foncier.
J’ai été professeur d’histoire pendant 12 ans, en région parisienne, dans l’Aisne et à Mayotte. Il y a quelques années, je suis tombé amoureux de la pointe de La Hague et j’ai souhaité m’investir dans ce territoire. J’ai rénové une petite maison en bord de mer, à Saint-Germain-des-Vaux, avec l’espoir d’y vivre tout en enseignant. Après trois ans de demandes de mutation refusées, j’ai dû choisir : rester en région parisienne ou m’installer en Normandie pour bâtir un nouveau projet. En rencontrant une famille d’éleveurs à Vauville, notamment Bruno et Pascal Paysant, j’ai découvert l’élevage des Chèvres des Fossés et ai commencé à réfléchir à créer une ferme caprine.
J’ai passé un diplôme agricole en Ardèche et en Haute-Loire puis j’ai réalisé des stages en Bretagne et en Normandie pour mieux comprendre le métier d’éleveur. Aujourd’hui, j’ai pu avoir des terres et installer ma ferme est en agriculture biologique, engagée dans la préservation du bocage normand et de son patrimoine vivant. J’élève mes animaux de Normandie dans les prairies du Cotentin et j’ai pour projet de faire découvrir ces animaux et ces paysages, transformer aussi le lait de chèvre en fromages.
S’installer ici, ce n’était pas juste un choix de vie personnel, c’était aussi une volonté de m’engager dans un territoire, d’en faire pleinement partie et de contribuer à sa vitalité. J’ai toujours été attaché à la notion de transmission et de partage, que ce soit en tant que professeur ou maintenant en tant qu’éleveur.
La Hague a une identité forte, un patrimoine naturel et agricole extraordinaire. Je veux faire vivre cette richesse en travaillant avec les habitants, les producteurs et les associations. Valoriser une race locale menacée comme la Chèvre des Fossés, préserver le bocage normand, proposer des produits de la ferme de qualité, accueillir du public à la ferme, c’est ma manière d’être acteur du “pays”.
FEVE a été un soutien dans l’acquisition des terres. Les banques étaient prêtes à financer les bâtiments et le matériel, mais pas l’achat du foncier, ce qui mettait en péril tout le projet.
J’ai contacté FEVE en mars, et après une visite sur place en avril, les discussions ont avancé rapidement. En juin, une offre était faite et le compromis signé en août, pour une vente réalisée en novembre. Ce court délai a permis de sécuriser mon installation.
J’ai pu me concentrer sur le développement de la ferme, la mise en place des animaux et la réalisation des bâtiments, sans avoir à immobiliser toute ma capacité d’investissement dans l’achat du foncier.
J’ai investi car les aspects de crédibilité agricole, technique et financière ont été bien analysés par FEVE et sans cet appui je n’aurais pas pu et su faire. Grâce à çà, il ne me restait que la partie “plaisir” d’un tel investissement : découvrir le projet, voir s’il a du sens pour moi, s’il me parle et si j’ai envie d’en parler
Thibault G.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2021
Investir chez FEVE c'est une aventure humaine qui profite à la biodiversité et à ton portefeuille... Que demander de plus 🤗🌱
Kylia C.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2023
C'est ma petite pierre à l'édifice. Je l'ai fait comme un acte "militant", pas comme un placement financier. Le projet me parlait, j'ai investi le minimum. Parce que je n'avais pas forcément la ressource pour aller au delà. Mais j'aimerais renouveler dès que possible…
Pauline G.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2022