Manon et Martin ont posé leurs valises sur cette ferme déjà en bio. Ils y cultivent céréales, légumes, élèvent des brebis, transforment leur blé en pain… et cuisent des pizzas vendues sur place. Un petit magasin à la ferme permet aussi de repartir avec leurs produits.
Manon : “Je viens du milieu agricole, mes parents sont éleveurs. J’ai fait un BPREA en plantes aromatiques et médicinales, puis des stages en maraîchage, notamment à Arles. Ensuite, j’ai pas mal bougé avant de rencontrer Martin. On a travaillé dans différentes fermes, vendu du fromage, fait de l’horticulture, de l’élevage, un peu de tout.”
Martin est cuisinier de formation. Il a bossé dix ans dans la restauration avant de se reconvertir comme berger en montagne. C’est une amie de mes parents qui cherchait un berger, et il s'est lancé. Ensuite, il a voulu se former en laitier caprin, mais on a eu notre première fille, puis l’année d’après un garçon... alors les plans ont évolué.”
Manon : “On avait tous les deux cette envie de nous installer, de lancer un projet qui nous ressemble. Mais on n’avait pas les moyens d’acheter une ferme nous-mêmes. On regardait un peu partout : les annonces classiques, les structures d’accompagnement, les plateformes comme le RDI. On a même visité plusieurs fermes, mais c’était souvent soit trop cher, soit pas adapté. Et puis Martin est tombé sur le site de FEVE. On a fait le petit quiz de La Grange, un peu par curiosité… et finalement, ça nous a amenés jusqu’à cette ferme. Elle cochait vraiment toutes les cases : une belle diversité d’ateliers, des terres cultivables, des bâtiments déjà en place. Et puis le feeling avec le cédant a tout changé. Ça nous a motivés à sauter le pas.”
Manon : “On a découvert FEVE un peu par hasard, en cherchant sur Internet. À la base, on ne connaissait pas vraiment, mais on a vu leur site et on a rempli le questionnaire. Très vite, quelqu’un de l’équipe nous a appelés, puis on a reçu plus d’infos, et on a été invités à venir visiter la ferme. On a eu un vrai coup de cœur pour le lieu, et ça s’est tout de suite bien passé avec Jean-Marie, l’ancien agriculteur.
Ce qui a vraiment fait la différence, c’est que FEVE nous a suivis à chaque étape. On a commencé par un stage parrainage sur place, ce qui nous a permis de découvrir la ferme de l’intérieur, de tester le matériel, de prendre nos repères avant de nous lancer. Ensuite, comme l’achat prenait un peu de temps côté notaire, on a pu signer un commodat pour commencer à produire sans attendre.
Sans FEVE, on n’aurait jamais pu accéder à cette ferme.
Manon : “Je viens du milieu agricole, mes parents sont éleveurs. J’ai fait un BPREA en plantes aromatiques et médicinales, puis des stages en maraîchage, notamment à Arles. Ensuite, j’ai pas mal bougé avant de rencontrer Martin. On a travaillé dans différentes fermes, vendu du fromage, fait de l’horticulture, de l’élevage, un peu de tout.”
Martin est cuisinier de formation. Il a bossé dix ans dans la restauration avant de se reconvertir comme berger en montagne. C’est une amie de mes parents qui cherchait un berger, et il s'est lancé. Ensuite, il a voulu se former en laitier caprin, mais on a eu notre première fille, puis l’année d’après un garçon... alors les plans ont évolué.”
Manon : “On avait tous les deux cette envie de nous installer, de lancer un projet qui nous ressemble. Mais on n’avait pas les moyens d’acheter une ferme nous-mêmes. On regardait un peu partout : les annonces classiques, les structures d’accompagnement, les plateformes comme le RDI. On a même visité plusieurs fermes, mais c’était souvent soit trop cher, soit pas adapté. Et puis Martin est tombé sur le site de FEVE. On a fait le petit quiz de La Grange, un peu par curiosité… et finalement, ça nous a amenés jusqu’à cette ferme. Elle cochait vraiment toutes les cases : une belle diversité d’ateliers, des terres cultivables, des bâtiments déjà en place. Et puis le feeling avec le cédant a tout changé. Ça nous a motivés à sauter le pas.”
Manon : “On a découvert FEVE un peu par hasard, en cherchant sur Internet. À la base, on ne connaissait pas vraiment, mais on a vu leur site et on a rempli le questionnaire. Très vite, quelqu’un de l’équipe nous a appelés, puis on a reçu plus d’infos, et on a été invités à venir visiter la ferme. On a eu un vrai coup de cœur pour le lieu, et ça s’est tout de suite bien passé avec Jean-Marie, l’ancien agriculteur.
Ce qui a vraiment fait la différence, c’est que FEVE nous a suivis à chaque étape. On a commencé par un stage parrainage sur place, ce qui nous a permis de découvrir la ferme de l’intérieur, de tester le matériel, de prendre nos repères avant de nous lancer. Ensuite, comme l’achat prenait un peu de temps côté notaire, on a pu signer un commodat pour commencer à produire sans attendre.
Sans FEVE, on n’aurait jamais pu accéder à cette ferme.
J’ai participé à un apéro FEVE, bien qu’appréhendant un peu une soirée investisseurs… Je me disais: ”il ne va y avoir que des banquiers en cravate”, et bien non… Quelle agréable surprise de voir la présence d’agriculteurs, mais aussi de petits investisseurs avec des paroles simples : « Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants. »
Christophe B.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2023
Voilà 17 ans que je m’occupe de mon jardin afin de créer de la biodiversité et apprendre ses mécanismes. En soutenant FEVE j’ai voulu participer à un projet plus grand.
Julie V.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2022
En 2027, FEVE va convertir chaque année la surface de Paris ! On a besoin de vous pour rejoindre l’aventure. Chaque euro compte. Chaque m2 compte.
Thierry R.
Depuis 2023