Stéphane a passé 20 ans dans l’industrie aéronautique avant d’entamer un virage à 180 vers l’agriculture. C’est en 2018 qu'il décide de quitter son travail d’ingénieur et commence à s’intéresser à l’agroécologie et plus précisément, à la vie du sol et de tous ses micro-organismes. De fil en aiguille, il a découvert tout un environnement qui l'a amené peu à peu à la fabrication de son propre levain.
Installé en collaboration avec la Safer Occitanie.
Mon parcours est assez atypique. J'ai commencé ma carrière en tant qu'ingénieur aéronautique chez Airbus, où j'ai travaillé pendant 20 ans. Malgré un poste stable à Toulouse, j'avais depuis longtemps envie de changer de voie. En 2018, j'ai décidé de quitter ce secteur pour me tourner vers un domaine qui commençait à me passionner : l'agriculture et plus précisément l'agroécologie. Mon intérêt pour la vie du sol, les micro-organismes et le levain m'a conduit à devenir paysan-boulanger. J'ai suivi des formations agricoles pour approfondir mes connaissances petit à petit, j'ai aussi eu l'opportunité de bénéficier d'un espace test agricole à Gaillac, qui m'a permis d'expérimenter mes pratiques en conditions réelles après quoi j'ai pu m'installer. Aujourd'hui, je cultive des céréales que je transforme en pain, et je vends mes produits sur les marchés locaux. C'est un grand virage professionnel, mais c'est une aventure qui donne beaucoup de sens à ce que je fais.
Limiter mon impact sur les sols est important pour moi parce que je veux préserver leur qualité et assurer la durabilité de mes cultures. En utilisant des techniques comme le semis sous couvert permanent, je cherche à maintenir la structure du sol et à éviter de le dégrader avec des interventions mécaniques trop lourdes. Cela permet de laisser les racines profondes en place, notamment celles de la luzerne, qui aident à capter l'eau et à soutenir les cultures, surtout en période de sécheresse. Je vois clairement que ces pratiques apportent des bénéfices, même si elles réduisent un peu les rendements, en permettant de produire des grains de bonne qualité tout en respectant l’environnement.
Au départ, je ne correspondais pas totalement aux critères d’acceptation des candidatures, car ma surface de terre était petite et je n’étais ni en élevage ni sur une activité agricole traditionnelle. Malgré ça, j’ai décidé de tenter ma chance en présentant mon projet. Et ça a fonctionné ! J’ai rencontré Samuel, qui est venu directement sur place pour discuter avec moi. Il a compris mon projet et l’a trouvé intéressant.
Samuel a joué un rôle crucial en présentant mon dossier de manière claire et convaincante aux investisseurs. Même si les coûts des terres étaient un peu au-dessus du marché, il a réussi à les convaincre. Grâce à lui et à FEVE, j’ai pu obtenir le soutien nécessaire pour avancer.
J’avais déjà repéré cette ferme grâce à la SAFER, mais le prix et la configuration morcelée rendaient l’achat compliqué. FEVE m’a permis de concrétiser ce projet et d’accéder aux terres dont j’avais besoin pour développer mon activité.
Mon parcours est assez atypique. J'ai commencé ma carrière en tant qu'ingénieur aéronautique chez Airbus, où j'ai travaillé pendant 20 ans. Malgré un poste stable à Toulouse, j'avais depuis longtemps envie de changer de voie. En 2018, j'ai décidé de quitter ce secteur pour me tourner vers un domaine qui commençait à me passionner : l'agriculture et plus précisément l'agroécologie. Mon intérêt pour la vie du sol, les micro-organismes et le levain m'a conduit à devenir paysan-boulanger. J'ai suivi des formations agricoles pour approfondir mes connaissances petit à petit, j'ai aussi eu l'opportunité de bénéficier d'un espace test agricole à Gaillac, qui m'a permis d'expérimenter mes pratiques en conditions réelles après quoi j'ai pu m'installer. Aujourd'hui, je cultive des céréales que je transforme en pain, et je vends mes produits sur les marchés locaux. C'est un grand virage professionnel, mais c'est une aventure qui donne beaucoup de sens à ce que je fais.
Limiter mon impact sur les sols est important pour moi parce que je veux préserver leur qualité et assurer la durabilité de mes cultures. En utilisant des techniques comme le semis sous couvert permanent, je cherche à maintenir la structure du sol et à éviter de le dégrader avec des interventions mécaniques trop lourdes. Cela permet de laisser les racines profondes en place, notamment celles de la luzerne, qui aident à capter l'eau et à soutenir les cultures, surtout en période de sécheresse. Je vois clairement que ces pratiques apportent des bénéfices, même si elles réduisent un peu les rendements, en permettant de produire des grains de bonne qualité tout en respectant l’environnement.
Au départ, je ne correspondais pas totalement aux critères d’acceptation des candidatures, car ma surface de terre était petite et je n’étais ni en élevage ni sur une activité agricole traditionnelle. Malgré ça, j’ai décidé de tenter ma chance en présentant mon projet. Et ça a fonctionné ! J’ai rencontré Samuel, qui est venu directement sur place pour discuter avec moi. Il a compris mon projet et l’a trouvé intéressant.
Samuel a joué un rôle crucial en présentant mon dossier de manière claire et convaincante aux investisseurs. Même si les coûts des terres étaient un peu au-dessus du marché, il a réussi à les convaincre. Grâce à lui et à FEVE, j’ai pu obtenir le soutien nécessaire pour avancer.
J’avais déjà repéré cette ferme grâce à la SAFER, mais le prix et la configuration morcelée rendaient l’achat compliqué. FEVE m’a permis de concrétiser ce projet et d’accéder aux terres dont j’avais besoin pour développer mon activité.
J’ai investi car les aspects de crédibilité agricole, technique et financière ont été bien analysés par FEVE et sans cet appui je n’aurais pas pu et su faire. Grâce à çà, il ne me restait que la partie “plaisir” d’un tel investissement : découvrir le projet, voir s’il a du sens pour moi, s’il me parle et si j’ai envie d’en parler
Thibault G.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2021
Voilà 17 ans que je m’occupe de mon jardin afin de créer de la biodiversité et apprendre ses mécanismes. En soutenant FEVE j’ai voulu participer à un projet plus grand.
Julie V.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2022
Je voulais soutenir à ma façon les agriculteurs passionnés, qui sont de moins en moins nombreux. L’idée d’investir « en direct », d’être au plus proche des agriculteurs et de savoir comment est utilisé mon investissement (il est certain que de recevoir régulièrement des photos et vidéos de fermes financées par FEVE, met vraiment du baume au cœur 🥰)
Vanille G.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2023