La ferme du manoir d’Anctoville

Au cœur de la Normandie, la ferme du manoir d’Anctoville, fait place à un nouveau chapitre avec l'arrivée d’Emilie et Pascal, un couple en reconversion après une période de formation et de montée en compétence. Ils ont fait le choix de s'installer sur cette belle ferme et de donner une nouvelle impulsion à ses activités diversifiées.

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Département
Dans la Manche, en Normandie
Surface
46 hectares
Pratique agricole
Élevage en auto-suffisance et mono-traite, pâturage tournant, conversion en bio
Ateliers
Élevage bovin lait et verger de pommes
Pourquoi FEVE a investi ?
La ferme du manoir d’Anctoville
Une localisation idéale
La ferme de Granville s’étend sur 46 ha dans le département de la Manche (50). Elle est située à 6 km du centre de Granville, une ville balnéaire touristique.
Des ateliers valorisés grâce à la transformation
Émilie et Pascal transforment le lait en fromage et produisent 18 000 bouteilles de cidre, calva et pommeau.
Valorisation d'une zone touristique
Emilie et Pascal ont le projet de faire renaître d’anciennes chambres d'hôtes. Avec la mise en place d'un magasin à la ferme.
A la rencontre de
Émilie et Pascal
Quel a été votre parcours à tous les deux ? 

Emilie : Je suis biologiste de formation, j'ai travaillé pendant une quinzaine d'années dans le milieu hospitalier tout en soutenant mon mari, restaurateur sur les services et la compta le week-end. Après la vente du restaurant, on a pris le temps de réfléchir à une nouvelle aventure. L'idée de se lancer dans l'élevage a émergé, et après des discussions fructueuses avec Pascal, on a décidé d'explorer cette voie. J’ai pu bénéficier d'une enveloppe de reconversion de mon employeur, suivant une formation en élevage avec option transformation laitière (BPREA). Diplôme obtenu il y a un an et demi, j’ai ensuite travaillé dans des élevages en tant que salariée pour monter en compétence et j'ai pris un poste de cinq mois en transfo fromagère dans le Pays d'Auge, à faire du Pont L'Évêque. C'était une ferme qui transformait une partie de sa production.

Pascal : Je suis cuisinier de métier depuis une vingtaine d'années. Bien que n'ayant pas de diplôme agricole, je me suis formé à la transformation, ce qui suit la continuité de mon métier de restaurateur.

Qu’est-ce qui vous a plus dans la ferme du manoir d’Anctoville? 

C'était exactement ce que nous recherchions. Nous avions clairement en tête une structure avec une quarantaine d'hectares, idéale pour mettre en place notre modèle extensif axé sur le pâturage.  Mon parcours dans le BPREA élevage m'a amenée à explorer différents modèles économiques, et c'est ainsi que nous avons décidé de nous orienter vers ce modèle, principalement basé sur l'herbe, avec des compléments tels que le foin et éventuellement un peu de méteil fermier. Notre objectif est clair : viser l'autonomie et privilégier un élevage économe. En plus, l’emplacement est parfait, d'autant plus que ma famille est originaire de la région, ce qui a renforcé notre connexion avec la ferme.

Comment avez-vous trouvé la ferme ? 

Au début de nos recherches, je me suis rapprochée de FEVE, explorant des modèles alternatifs qui me parlaient. On avait déjà repéré une première ferme dans le Calvados, mais finalement, le coût était trop important, et le lieu ne correspondait pas tout à fait à nos critères.

On a continué à travailler sur notre projet, et un jour, quelqu'un de FEVE nous a recontactés grâce à notre profil sur la Grange. C'est à ce moment-là que la ferme du manoir d’Anctoville est entrée dans notre radar. On s'est dit, 'Pourquoi ne pas venir visiter?' Et là, ça a été une révélation, la ferme correspondait exactement au modèle que nous cherchions.

D’ailleurs heureusement que nous avons pu bénéficier du dispositif proposé par FEVE, c’était une nécessité pour pouvoir s’installer. Le contexte actuel fait qu'on a beau nous dire que la moitié des agriculteurs va partir à la retraite, les fermes sont très chères donc on est obligé de passer outre les modèles classiques pour pouvoir s’installer et vivre de ce qu’on aime sereinement.

Vous avez aussi un projet de ferme à financer ?

Comme Émilie et Pascal, envoyez une demande à FEVE pour soumettre votre projet à notre équipe.

À la rencontre de
Émilie et Pascal
Heureusement que nous avons pu bénéficier du dispositif proposé par FEVE, c’était une nécessité pour pouvoir s’installer.
Quel a été votre parcours à tous les deux ? 

Emilie : Je suis biologiste de formation, j'ai travaillé pendant une quinzaine d'années dans le milieu hospitalier tout en soutenant mon mari, restaurateur sur les services et la compta le week-end. Après la vente du restaurant, on a pris le temps de réfléchir à une nouvelle aventure. L'idée de se lancer dans l'élevage a émergé, et après des discussions fructueuses avec Pascal, on a décidé d'explorer cette voie. J’ai pu bénéficier d'une enveloppe de reconversion de mon employeur, suivant une formation en élevage avec option transformation laitière (BPREA). Diplôme obtenu il y a un an et demi, j’ai ensuite travaillé dans des élevages en tant que salariée pour monter en compétence et j'ai pris un poste de cinq mois en transfo fromagère dans le Pays d'Auge, à faire du Pont L'Évêque. C'était une ferme qui transformait une partie de sa production.

Pascal : Je suis cuisinier de métier depuis une vingtaine d'années. Bien que n'ayant pas de diplôme agricole, je me suis formé à la transformation, ce qui suit la continuité de mon métier de restaurateur.

Qu’est-ce qui vous a plus dans la ferme du manoir d’Anctoville? 

C'était exactement ce que nous recherchions. Nous avions clairement en tête une structure avec une quarantaine d'hectares, idéale pour mettre en place notre modèle extensif axé sur le pâturage.  Mon parcours dans le BPREA élevage m'a amenée à explorer différents modèles économiques, et c'est ainsi que nous avons décidé de nous orienter vers ce modèle, principalement basé sur l'herbe, avec des compléments tels que le foin et éventuellement un peu de méteil fermier. Notre objectif est clair : viser l'autonomie et privilégier un élevage économe. En plus, l’emplacement est parfait, d'autant plus que ma famille est originaire de la région, ce qui a renforcé notre connexion avec la ferme.

Comment avez-vous trouvé la ferme ? 

Au début de nos recherches, je me suis rapprochée de FEVE, explorant des modèles alternatifs qui me parlaient. On avait déjà repéré une première ferme dans le Calvados, mais finalement, le coût était trop important, et le lieu ne correspondait pas tout à fait à nos critères.

On a continué à travailler sur notre projet, et un jour, quelqu'un de FEVE nous a recontactés grâce à notre profil sur la Grange. C'est à ce moment-là que la ferme du manoir d’Anctoville est entrée dans notre radar. On s'est dit, 'Pourquoi ne pas venir visiter?' Et là, ça a été une révélation, la ferme correspondait exactement au modèle que nous cherchions.

D’ailleurs heureusement que nous avons pu bénéficier du dispositif proposé par FEVE, c’était une nécessité pour pouvoir s’installer. Le contexte actuel fait qu'on a beau nous dire que la moitié des agriculteurs va partir à la retraite, les fermes sont très chères donc on est obligé de passer outre les modèles classiques pour pouvoir s’installer et vivre de ce qu’on aime sereinement.

Vous avez aussi un projet de ferme à financer ?

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Les pratiques agro-écologiques

Une approche autonome pour une ferme dynamique 

L’élevage extensif de 40 vaches laitières normandes en auto-suffisance. La ferme a opté pour un modèle d'élevage extensif en pâturage tournant dynamique, basé principalement sur l'herbe, réduisant ainsi la dépendance aux céréales et aux cultures énergivores.

Respectueuse de l’environnement

Grâce à une conversion de la ferme en agriculture biologique et à un projet d’agroforesterie avec le projet de replanter des haies et des arbres pour favoriser la biodiversité tout en favorisant un environnement propice à l'élevage.

Et respectueuse du vivant

L’élevage se base sur la mono-traite des vaches (une traite par jour au lieu de deux) pour préserver leur qualité de vie et celle des vaches. Elle se fait de façon mobile dans les champs. C’est une pratique écologique car pas de nettoyage de la salle de traite ce qui implique une consommation moindre d’eau, il n'y a pas de lisier car les animaux fertilisent les champs en même temps que la traite.

La ferme du manoir d’Anctoville
a cédé sa ferme grâce à FEVE
Vous avez aussi une ferme à transmettre ?

Comme , contactez FEVE pour soumettre votre projet à notre équipe.

Rejoignez les investisseurs responsables

C'est ma petite pierre à l'édifice. Je l'ai fait comme un acte "militant", pas comme un placement financier. Le projet me parlait, j'ai investi le minimum. Parce que je n'avais pas forcément la ressource pour aller au delà. Mais j'aimerais renouveler dès que possible…

Pauline G.

Investisseuse chez FEVE

Depuis 2022

En 2027, FEVE va convertir chaque année la surface de Paris ! On a besoin de vous pour rejoindre l’aventure. Chaque euro compte. Chaque m2 compte.

Thierry R.

Depuis 2023

Fermes En ViE est un projet audacieux contribuant au redéveloppement de l’agriculture “moderne” dans un sens qui la réconcilie avec l’environnement.

Marine D.

Investisseuse chez FEVE

Depuis 2021

La mission de FEVE

En France, 50% des agriculteurs vont partir à la retraite d’ici 10 ans. FEVE facilite l’installation agricole pour répondre à l’urgence du renouvellement des générations et de la transition écologique.

Nous réalisons notre mission grâce à deux puissants leviers :

  • Notre foncière solidaire qui finance l’achat des fermes grâce à l’épargne citoyenne. Elle permet aux jeunes agriculteurs d’être en location avec option d’achat et de s’installer plus facilement.
  • La Grange, notre plateforme digitale qui permet de construire et concrétiser un projet d’installation viable et durable grâce à des contenus techniques et des outils pratiques.
La carte
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La presse parle de cette fève
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