Franck a toujours été dans le milieu agricole, après avoir travaillé pendant plus de 20 ans dans la filière de la BIO, il s’installe sur la Ferme de Reguyon en Loire-Atlantique. La ferme de Reguyon était une ferme BIO en polyculture-élevage bovin lait que Franck transforme en une ferme BIO céréalière. Il va développer une activité de cultures végétales très diversifiées et travailler avec des voisins pour valoriser les fourrages produits sur la ferme.
Ce projet a été financé par la foncière FEVE et en collaboration avec La NEF et MiiMOSA
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J’ai toujours été dans le milieu agricole. J’avais démarré en travaillant en ferme, puis j’ai repris mes études pour faire un BTS. Je suis allé vers la vente et c’est là que j’ai commencé à travailler sur la partie bio en travaillant pour l’UFAB. J’étais dans le Finistère et j’avais deux métiers : j’avais ma ferme céréalière BIO de 130 hectares et j’avais une société avec laquelle je distribuais des semences aux agriculteurs BIO. Ça fait déjà plus de 20 ans que je travaille dans la BIO. Avec les deux activités, c’était devenu très dur, je n’avais plus de vie, il y avait trop de choses à gérer en parallèle. Aujourd’hui, j'ai envie de retrouver un équilibre et de travailler comme j’ai envie. Après 11 ans, j’ai décidé d’arrêter mon entreprise de semences et de lancer un nouveau projet en mars 2022. J’avais envie de changer de région, je voulais m’installer dans le 44. Dans mon projet d’installation et pour vivre de mon métier, il me fallait une ferme relativement importante, c’est pour ça que j’ai choisi la Ferme de Reguyon. Je cherchais une ferme laitière, car souvent, elles ont déjà beaucoup de prairies et cela facilite les rotations pour les céréales. Quand j’ai commencé à chercher, il y avait 27 fermes à vendre, c’était énorme ! Malgré la région qui est très dynamique, la taille des exploitations et le financement font que c’est de plus en plus difficile de reprendre. Finalement, j’ai trouvé l’annonce via une agence immobilière et j’ai lancé les démarches. Ça s’est très bien passé avec les cédants et j’ai pu valider mon projet.
C’est par ma société de semence que je connaissais FEVE. J’en avais entendu parler dans le Finistère, car pour de l’installation de jeunes qui veulent se lancer notamment en BIO, c’est une solution de financement connue.
Quand j’ai trouvé ma ferme, j’ai sous-traité cette partie financement à un courtier parce que j’avais beaucoup de travail avec ma double activité. Sur le financement de ma ferme, je suis sur un système un peu alternatif où tout se complète bien puisque je combine des financements avec FEVE, la Banque Populaire, La Nef et Miimosa.
Quand on travaille avec de bons partenaires, il n’y a pas de problème. Je travaille avec des meuniers et aujourd’hui c’est moi qui fixe le prix. Je leur vends des hectares et non pas des tonnages, ce qui permet de soulager la pression sur la quantité à fournir. Ce qui est important, c'est de produire ce dont les gens ont besoin. Je discute avec les meuneries et on construit la production en fonction de leurs besoins. Quand, je discute avec eux en amont, ils me disent qu’ils ont besoin de 8 à 10 hectares d’épeautre, de blé noir etc. Et j’organise mes cultures en fonction. Que le rendement soit à 20 quintaux ou à 30, il me prend l’intégralité. Sur le marché en général, le conventionnel est en train de monter en termes de prix et de rattraper le BIO. À prix équivalent, les gens iront plutôt vers du BIO et cela sera bénéfique pour la filière.
J’ai toujours été dans le milieu agricole. J’avais démarré en travaillant en ferme, puis j’ai repris mes études pour faire un BTS. Je suis allé vers la vente et c’est là que j’ai commencé à travailler sur la partie bio en travaillant pour l’UFAB. J’étais dans le Finistère et j’avais deux métiers : j’avais ma ferme céréalière BIO de 130 hectares et j’avais une société avec laquelle je distribuais des semences aux agriculteurs BIO. Ça fait déjà plus de 20 ans que je travaille dans la BIO. Avec les deux activités, c’était devenu très dur, je n’avais plus de vie, il y avait trop de choses à gérer en parallèle. Aujourd’hui, j'ai envie de retrouver un équilibre et de travailler comme j’ai envie. Après 11 ans, j’ai décidé d’arrêter mon entreprise de semences et de lancer un nouveau projet en mars 2022. J’avais envie de changer de région, je voulais m’installer dans le 44. Dans mon projet d’installation et pour vivre de mon métier, il me fallait une ferme relativement importante, c’est pour ça que j’ai choisi la Ferme de Reguyon. Je cherchais une ferme laitière, car souvent, elles ont déjà beaucoup de prairies et cela facilite les rotations pour les céréales. Quand j’ai commencé à chercher, il y avait 27 fermes à vendre, c’était énorme ! Malgré la région qui est très dynamique, la taille des exploitations et le financement font que c’est de plus en plus difficile de reprendre. Finalement, j’ai trouvé l’annonce via une agence immobilière et j’ai lancé les démarches. Ça s’est très bien passé avec les cédants et j’ai pu valider mon projet.
C’est par ma société de semence que je connaissais FEVE. J’en avais entendu parler dans le Finistère, car pour de l’installation de jeunes qui veulent se lancer notamment en BIO, c’est une solution de financement connue.
Quand j’ai trouvé ma ferme, j’ai sous-traité cette partie financement à un courtier parce que j’avais beaucoup de travail avec ma double activité. Sur le financement de ma ferme, je suis sur un système un peu alternatif où tout se complète bien puisque je combine des financements avec FEVE, la Banque Populaire, La Nef et Miimosa.
Quand on travaille avec de bons partenaires, il n’y a pas de problème. Je travaille avec des meuniers et aujourd’hui c’est moi qui fixe le prix. Je leur vends des hectares et non pas des tonnages, ce qui permet de soulager la pression sur la quantité à fournir. Ce qui est important, c'est de produire ce dont les gens ont besoin. Je discute avec les meuneries et on construit la production en fonction de leurs besoins. Quand, je discute avec eux en amont, ils me disent qu’ils ont besoin de 8 à 10 hectares d’épeautre, de blé noir etc. Et j’organise mes cultures en fonction. Que le rendement soit à 20 quintaux ou à 30, il me prend l’intégralité. Sur le marché en général, le conventionnel est en train de monter en termes de prix et de rattraper le BIO. À prix équivalent, les gens iront plutôt vers du BIO et cela sera bénéfique pour la filière.
En 2027, FEVE va convertir chaque année la surface de Paris ! On a besoin de vous pour rejoindre l’aventure. Chaque euro compte. Chaque m2 compte.
Thierry R.
Depuis 2023
Nos investissements doivent faire sens en plus d’être sécurisés pour nos enfants. L’agriculture en France a besoin de se réinventer. FEVE, avec son équipe de top gun, peut y parvenir. Nous sommes donc heureux et fiers de prendre part à cette initiative tout en investissant dans des fermes pleines de potentiel.
Amélie F.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2021
Je voulais soutenir à ma façon les agriculteurs passionnés, qui sont de moins en moins nombreux (et de moins en moins bien payés). L’idée d’investir « en direct », d’être au plus proche des agriculteurs et de savoir comment est utilisé mon investissement (il est certain que de recevoir régulièrement des photos et vidéos de fermes financées par FEVE, met vraiment du baume au cœur 🥰)
Vanille G.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2023