Depuis tout petit, Anthony a été bercé par la vie à la ferme, entouré de son grand-père et de son oncle, tous deux agriculteurs. Après un parcours éducatif en aménagement paysager, il a finalement choisi de revenir à ses racines agricoles, poussé par une passion ancrée pour la terre et les cultures.
Anthony : “J’ai baigné dans l’agriculture depuis toujours. Mon grand-père et mon oncle étaient agriculteurs, et dès l’enfance, je passais mes mercredis matins à la ferme. J’ai fait des études dans les espaces verts, mais j’ai toujours su que je voulais revenir à l’agriculture. J’ai travaillé pendant douze ans dans une grosse exploitation en bio, et petit à petit, j’ai eu envie de faire mes propres choix, de tenter ma chance à mon tour.”
Anthony : “Depuis que je suis gamin, j’ai toujours eu ce rêve un peu fou : avoir ma propre ferme, être libre de mes choix, cultiver la terre à ma manière. Même quand je travaillais comme ouvrier agricole, je ne me contentais pas de conduire les tracteurs ou de semer. Je voulais comprendre les rouages, savoir combien on récoltait, combien on vendait, ce que ça coûtait, ce que ça rapportait. J’avais toujours un œil sur les chiffres, presque comme si j’étais déjà patron. Cette vision un peu entrepreneuriale, je l’ai toujours eue. Ma compagne m’a aussi beaucoup poussé, elle-même est agricultrice en œufs bio, et on travaille souvent ensemble. Ça m’a donné confiance pour franchir le pas. Et au fond de moi, je savais que si l’opportunité se présentait, je devrais la saisir. C’est un défi personnel, mais aussi un vieux rêve d’enfant.”
Anthony : “Quand j’ai vu la ferme publiée à la SAFER, j’avais fait une proposition d’achat, un peu en dessous du prix demandé. Elle a été refusée, et je m’étais dit que ce n’était pas pour moi. Puis, ma compagne a eu connaissance de terres disponibles à Couscouillet en recherche d'un jeune pour reprendre en fermage un projet qui était prêt à être signé, mais dont le précédent candidat s’était désisté à la dernière minute.
Tout était déjà calé, il ne manquait plus qu’un porteur de projet. J’ai pris contact avec FEVE, et en deux mois, tout était bouclé. Le fait que ce soit un fermage, et non un achat, a tout changé pour moi. Si j’avais dû acheter, j’aurais été contraint de faire un prêt lourd, avec des annuités que j’aurais peut-être réussi à rembourser… mais sans pouvoir me dégager un revenu. J’aurais travaillé uniquement pour payer la banque.
Grâce à FEVE, le coût du fermage est bien plus supportable, ce qui me permet aujourd’hui de tenter l’aventure agricole à mon rythme, avec mes propres choix. Sans eux, je serais encore ouvrier.”
Anthony : “J’ai baigné dans l’agriculture depuis toujours. Mon grand-père et mon oncle étaient agriculteurs, et dès l’enfance, je passais mes mercredis matins à la ferme. J’ai fait des études dans les espaces verts, mais j’ai toujours su que je voulais revenir à l’agriculture. J’ai travaillé pendant douze ans dans une grosse exploitation en bio, et petit à petit, j’ai eu envie de faire mes propres choix, de tenter ma chance à mon tour.”
Anthony : “Depuis que je suis gamin, j’ai toujours eu ce rêve un peu fou : avoir ma propre ferme, être libre de mes choix, cultiver la terre à ma manière. Même quand je travaillais comme ouvrier agricole, je ne me contentais pas de conduire les tracteurs ou de semer. Je voulais comprendre les rouages, savoir combien on récoltait, combien on vendait, ce que ça coûtait, ce que ça rapportait. J’avais toujours un œil sur les chiffres, presque comme si j’étais déjà patron. Cette vision un peu entrepreneuriale, je l’ai toujours eue. Ma compagne m’a aussi beaucoup poussé, elle-même est agricultrice en œufs bio, et on travaille souvent ensemble. Ça m’a donné confiance pour franchir le pas. Et au fond de moi, je savais que si l’opportunité se présentait, je devrais la saisir. C’est un défi personnel, mais aussi un vieux rêve d’enfant.”
Anthony : “Quand j’ai vu la ferme publiée à la SAFER, j’avais fait une proposition d’achat, un peu en dessous du prix demandé. Elle a été refusée, et je m’étais dit que ce n’était pas pour moi. Puis, ma compagne a eu connaissance de terres disponibles à Couscouillet en recherche d'un jeune pour reprendre en fermage un projet qui était prêt à être signé, mais dont le précédent candidat s’était désisté à la dernière minute.
Tout était déjà calé, il ne manquait plus qu’un porteur de projet. J’ai pris contact avec FEVE, et en deux mois, tout était bouclé. Le fait que ce soit un fermage, et non un achat, a tout changé pour moi. Si j’avais dû acheter, j’aurais été contraint de faire un prêt lourd, avec des annuités que j’aurais peut-être réussi à rembourser… mais sans pouvoir me dégager un revenu. J’aurais travaillé uniquement pour payer la banque.
Grâce à FEVE, le coût du fermage est bien plus supportable, ce qui me permet aujourd’hui de tenter l’aventure agricole à mon rythme, avec mes propres choix. Sans eux, je serais encore ouvrier.”
Nos investissements doivent faire sens en plus d’être sécurisés pour nos enfants. L’agriculture en France a besoin de se réinventer. FEVE, avec son équipe de top gun, peut y parvenir. Nous sommes donc heureux et fiers de prendre part à cette initiative tout en investissant dans des fermes pleines de potentiel.
Amélie F.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2021
Je voulais soutenir à ma façon les agriculteurs passionnés, qui sont de moins en moins nombreux. L’idée d’investir « en direct », d’être au plus proche des agriculteurs et de savoir comment est utilisé mon investissement (il est certain que de recevoir régulièrement des photos et vidéos de fermes financées par FEVE, met vraiment du baume au cœur 🥰)
Vanille G.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2023
Très heureuse de contribuer à l’aide financière pour que des projets aboutissent. Ils portent une nouvelle vision de l’agriculture de demain, ils partagent les mêmes valeurs du vivant et de la protection de l’environnement, du bien être animal et de la force de la nature. Des exemples à suivre et à multiplier partout en France.
Blandine G.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2021