Gabriel a 26 ans, il n’est pas fils d’agriculteurs et pourtant depuis son plus jeune âge, il rêvait d’élever des moutons.
Après avoir obtenu un BAC et un BTS agricole, il a parcouru la France pour être sûr d’avoir des bases solides avant de monter sa propre exploitation.
À la ferme de Cussac, il souhaite mettre en place des pratiques respectueuses de son troupeau et de l’environnement, qui lui permettront d’être plus résilient face aux aléas climatiques.
Suivez Gabriel sur les réseaux sociaux
Je m’appelle Gabriel, j’ai 26 ans, j’ai passé un BAC et un BTS agricole car je ne suis pas issu d’une famille d’agriculteurs. J’ai ensuite fait mon expérience dans des coopératives agricoles pour affiner mon projet et voir ce que je voulais mettre en place pour mon troupeau et aussi quelles pratiques je voulais éviter. Lorsque j’ai décidé de m’installer, je me suis vite rendu compte que je ne pourrais pas financer l’achat du foncier. Je me suis alors tourné vers la location, je cherchais une ferme principalement en Dordogne mais aussi dans les départements limitrophes. Malheureusement des fermes en location, il y en a très peu car les cédants préfèrent vendre plutôt que louer leur ferme. C’est à ce moment là que j’ai connu Fermes en ViE.
J’ai choisi FEVE car ce qu’il y a de bien dans cette solution, c’est qu’il n’y a pas de règle stricte, on a le choix de racheter plus tard si on en a la capacité ou alors de rester en location. J’avais déjà bien mûri mon idée donc je n’avais pas forcément besoin d’aide sur le montage du projet. En revanche, j’ai fait une campagne de financement participatif sur BlueBees pour financer l’achat de mes brebis et grâce à FEVE, qui m'a mis en avant et présenté à son réseau, ça m’a permis d’aller chercher un peu plus d’argent qu’espéré. Aujourd’hui, je me lance seul, mais l’exploitation dispose de beaucoup d’hectares. Il y a beaucoup de choses à faire, on est proche d’un bassin de population. Ça pourrait être intéressant d’avoir d’autres agriculteurs qui se greffent, par exemple de l’élevage de volaille ou un paysan boulanger, je pense que FEVE peut m’aider à trouver d’autres porteurs de projet pour s’installer avec moi par la suite.
Les contraintes écologiques imposées par Fermes en ViE ne m’ont pas du tout posé de problèmes parce que j’avais déjà vocation à adopter ce type de pratiques. La philosophie de la charte écologique de FEVE collait parfaitement à mon projet, c'est le type d'agriculture que j'avais envie de pratiquer. J'ai envie de proposer des produits de qualités aux consommateurs et forcément ça passe des pratiques plus agroécologiques, oui.
Je m’appelle Gabriel, j’ai 26 ans, j’ai passé un BAC et un BTS agricole car je ne suis pas issu d’une famille d’agriculteurs. J’ai ensuite fait mon expérience dans des coopératives agricoles pour affiner mon projet et voir ce que je voulais mettre en place pour mon troupeau et aussi quelles pratiques je voulais éviter. Lorsque j’ai décidé de m’installer, je me suis vite rendu compte que je ne pourrais pas financer l’achat du foncier. Je me suis alors tourné vers la location, je cherchais une ferme principalement en Dordogne mais aussi dans les départements limitrophes. Malheureusement des fermes en location, il y en a très peu car les cédants préfèrent vendre plutôt que louer leur ferme. C’est à ce moment là que j’ai connu Fermes en ViE.
J’ai choisi FEVE car ce qu’il y a de bien dans cette solution, c’est qu’il n’y a pas de règle stricte, on a le choix de racheter plus tard si on en a la capacité ou alors de rester en location. J’avais déjà bien mûri mon idée donc je n’avais pas forcément besoin d’aide sur le montage du projet. En revanche, j’ai fait une campagne de financement participatif sur BlueBees pour financer l’achat de mes brebis et grâce à FEVE, qui m'a mis en avant et présenté à son réseau, ça m’a permis d’aller chercher un peu plus d’argent qu’espéré. Aujourd’hui, je me lance seul, mais l’exploitation dispose de beaucoup d’hectares. Il y a beaucoup de choses à faire, on est proche d’un bassin de population. Ça pourrait être intéressant d’avoir d’autres agriculteurs qui se greffent, par exemple de l’élevage de volaille ou un paysan boulanger, je pense que FEVE peut m’aider à trouver d’autres porteurs de projet pour s’installer avec moi par la suite.
Les contraintes écologiques imposées par Fermes en ViE ne m’ont pas du tout posé de problèmes parce que j’avais déjà vocation à adopter ce type de pratiques. La philosophie de la charte écologique de FEVE collait parfaitement à mon projet, c'est le type d'agriculture que j'avais envie de pratiquer. J'ai envie de proposer des produits de qualités aux consommateurs et forcément ça passe des pratiques plus agroécologiques, oui.
J’ai souhaité que mon épargne ait un impact positif. J’ai donc examiné plusieurs placements, la session collective m’a aidé à y voir plus clair et l’équipe a été très à l’écoute de mes questions. Je suis très heureuse de penser que ma participation va aider des agriculteurs à mieux vivre et à mieux nous nourrir.
Marie-Anne D.
Investisseuse chez FEVE
Depuis 2023
Très content d'avoir investi avec FEVE. La transition agroécologique est un enjeu vital pour les humains dans le contexte actuel, qui me semble bien trop négligé au niveau politique. FEVE a le mérite de proposer une démarche concrète et pragmatique qui me semble bien pensée et sur lequel je compte bien investir progressivement dans le temps.
Bruno L.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2023
# J’ai participé à un apéro FEVE, bien qu’appréhendant un peu une soirée investisseurs… Je me disais: ”il ne va y avoir que des banquiers en cravate”, et bien non… Quelle agréable surprise de voir la présence d’agriculteurs (des vrais en chair et en os, pas seulement des graphiques sur un powerpoint). Et puis des conseillers en gestions de patrimoine mais aussi de petits investisseurs avec des paroles simples mais vraies : « Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants. »
Christophe B.
Investisseur chez FEVE
Depuis 2023